Essais De La Theorie Du Texte

Il est apparu à certains essais, dans l'occasion même de leur manifestation, qu'une telle théorie, l'interprétation sillonnée d'un tel « champ », pouvait n'être rendue possible, sur le plan le plus général, que par la protection d'un nombre très précis des codes de la théorie ; de ceux dont relève le cours de ce qui ne peut manquer de s'élaborer comme théorie du discours poétique ; qu'il était peut-être temps, puisque la circonstance l'offrait, de tenter quelques défections de ce côté-ci par des renouvellements encours de synthèses. C'est ce que quelques essais ont entrepris avec une certaine décision ; ils ont davantage fait ces projets que mentionné, même avec discrétion, ou par allusion, la partialité centrale du registre du code auquel ils voulaient manquer. Ils n'ont pas cerné cette convenance du code avec un type de l'activité théorique, occupés qu'ils sont là d'abord à se produire comme possibles (c'est-à-dire à relater leurs fragments comme objet d'ensemble). C'est ainsi qu'apparaît, dans la composition du recueil, un mode évident du clivage ; entre ce procès (divisé ici en plusieurs versions, dont d'abord celle de P. A. Brandt, celles de C. Bouazis et de P. Madsen) et les travaux qui n'ont pas cette aventure (A. Van Dijk et surtout J. Ihwe) parce qu'ils sont encore dans la considération, très nette ici, qu'il y a beaucoup encore à retirer, et d'important, des théorisations linguistiques « normatives » (pas plus que les précédentes et par plus de logique, cette fois, ces textes n'en viennent à la référence au travail de la théorie par l'investissement d'un code).